En juillet 1830, quelques jours après que les troupes françaises du général de Bourmont sont entrées dans Alger, Charles X déclare : « Pour prendre Alger, je n’ai consulté que la dignité de la France; pour la garder ou la rendre, je ne consulterai que son intérêt ». Cent trente et un ans plus tard, le président de Gaulle, successeur lointain du roi affirme : « L’ Algérie nous coûte plus cher qu’elle ne nous rapporte (…) La décolonisation est notre intérêt, et par conséquent notre politique. »Jusqu’en 1961, la question n’a guère changé : que faire de l’ Algérie ?
L'Algérie, Une Passion Française - Le Point HS Grand Angle
En juillet 1830, quelques jours après que les troupes françaises du général de Bourmont sont entrées dans Alger, Charles X déclare : « Pour prendre Alger, je n’ai consulté que la dignité de la France; pour la garder ou la rendre, je ne consulterai que son intérêt ». Cent trente et un ans plus tard, le président de Gaulle, successeur lointain du roi affirme : « L’ Algérie nous coûte plus cher qu’elle ne nous rapporte (…) La décolonisation est notre intérêt, et par conséquent notre politique. »Jusqu’en 1961, la question n’a guère changé : que faire de l’ Algérie ?
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